Stocamine et données ouvertes

Salut à toutes et à tous,

Il y a des actualités sur la lutte contre stocamine. Pour plus d’info https://www.destocamine.fr/

Je croit qu’il y a des liens à faire sur l’accès aux données. En effet certaines données ne sont pas ou plus accessible (par exemple la commission paritaire bi-annuel qui n’a pas eu lieu depuis prêt de 2 ans), mais aussi des pratiques pour brouiller volontairement les données déjà ouvertes.

  • Les prélèvements du sol envoyés pour expertise il y a 40ans ont été choisies parmit les zones les plus pure, qui ne représentent pas la réalité du terrain utilisé (« cherry-picking »), et qui entraîne un effritement du plafond de confinement

  • Il n’y a pas d’équipement pour contrôler le contenu des container sensé contenir de l’amiante, et qui ont permit aux industrielles d’y faire entrer des produits qui réagissent avec les autres, et qui ont entraîné l’incendie. Lorsque qu’une équipe externe est venue contrôler les container, la direction de stocamine a fait pression pour que les autres containers d’amiante, alors même que l’équipe était équipée pour les ouvrir.

  • Toutes les études ont été menées par et pour l’État, sauf une indépendante, qui signale clairement qu’il y aura des fuites dans la nappes phréatique des produits dangereux.

  • Les informations matraquées par les compagnies responsable et l’État omettent volontairement des informations. L’expertise de l’école des mines autorisant l’enfouissement ne l’avait fait que pour 30ans, dans le but de valoriser les déchets, non de les enterrer à jamais. Les risques de fuites ne sont pas à considérer diluées dans l’entièreté de la nappe. Déjà car sa nature rend la diffusion extrêmement lente, ensuite parce que cette pollution s’ajoute aux autres déjà problématique : le lindane à colmar, le nitrate agricole, les très nombreux autres enfouissement un peu partout en alsace.

Notre nappe phréatique est la deuxième plus grande d’Europe. Elle passe sous la Suisse, le Luxembourg, et remonte assez loin en Allemagne.

Je trouve que ces pratiques ont beaucoup de parallèles avec les dark patterns, qui interroge l’accès données publiques par les habitantes et habitants.

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