Ou « le management et la fédération autogestionnaire ».
Pour ceux qui l’ignorent, Agile Scrum est une méthodo managériale qui vise à laisser les travailleurs se charger eux même de la gestion de leur équipe. Elle supprime une part de l’aliénation managériale (ceux qui font, savent et décident comment faire) mais en amène d’autres : les travailleurs sont des responsables sans pouvoirs, la hiérarchie profitent des réussites, et se désolidarise des échecs. En plus de ne pas pouvoir diriger la finalité de la production
C’est intéressant d’en faire la critique, mais c’est pas le sujet. On est plusieurs à penser que la culture du libre pêche (dans une très moindre mesure) de travers similaire.
Les forks de projets et de communauté sont l’occasion de drama, et de multiplication du travail, là où il s’agit —d’après nous— d’opportunité technique et démocratique.
Des guides de développement avec la méthodo agile scrum existent. Ils ont été rédigé par l’expérimentation d’après la mise en commun de personnes agissantes (des manager de la silicon valley 
).
Nous sommes intéressée pour discuter de la gouvernance logiciel d’un point de vue libriste dans le but de construire des pratiques et des solutions utilisables immédiatement. Un rendez-vous périodique serait une bonne base de départ, par exemple.